Nous avons atterri comme prévu sur l’isle de Baltra, vendredi 1er mars à 15h00.

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Pour entrer sur les iles Galapagos il faut beaucoup d’autorisations et les taxes, en faveur de la préservation de la faune et de la flore, sont relativement élevées…

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Le ciel est bleu, un vent chaud souffle et nous sommes enchantés, un rêve se réalise

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Le bâteau bus nous attend, nous rejoignons Puerto Ayora sur l’isle de Santa Cruz

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Les paysages sont féeriques. Nous apprendrons que ces arbres qui semblent morts reverdiront très vite dès la 1ère averse

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Sur la rive un pélican nous attend

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Nous prenons possession de notre logement, au rez de chaussée, très  grand,  nous pourrons préparer les repas et à deux pas de la plage. Le propriétaire nous attend et nous explique en détail tout ce qui peut nous être utile, il est très sympathique

Orlando sera un acteur Majeur de notre séjour…

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Tout va bien, et nous sommes consolés de notre journée d’hier, à  Quito Pascal s’est fait voler son téléphone dans le tram et voler également, à l’aéroport, notre précieux couteau suisse…

Enfin ce soir nous sortons pour découvrir la ville (17000 habitants). Ce n’est pas la période touristique, c ‘est la période des pluies, nous risquons quelques orages.

Nous découvrons le port, la vente de poissons et les animaux qui font leur marché 😉

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Les restaurants ouverts le long d’une grande rue, tard le soir. Ici nous rencontrons beaucoup d’américains

Notre repas, un brujo ou sorcière, poisson fin, enfin assez gros !

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Voire même trop gros pour 2, nous avons du mal à tout manger…

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Ce matin, samedi, jour de marché

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nous déjeunons une spécialité, un jus d’avena, ou avoine, boulette de pommes de terre au fromage et au yuka avec un oeuf

l’après midi nous sommes allés à Baya des tortugas, en chemin :

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2km à pied en plein soleil, la plage des tortues se mérite

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Le sable est très fin comme de la farine et blanc, l’eau est limpide et chaude. Nous ne verrons pas les tortues de mer,  elles quittent la plage vers 5h00 et reviennent le soir, la plage est fermée pour respecter leur tranquillité. Cette année n’ont été dénombré que 6 nids.

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La mangrove

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L’iguane marin

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Ils sont  partout, nous devons les éviter, car ici tous les animaux sont chez eux…

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Pas vraiment beau, mais vraiment placide

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le crabe, rouge mais pas cuit 😉

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La frégate femelle

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Frégate mâle, il gonfle son jabot pour séduire lorsqu’il veut séduire une femelle

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le pélican

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Le Pascal heureux

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Dimanche nous retournons à la plage cette fois armés de nos masques et tubas. Nous nageons avec les raies et les requins,  c’est magique. Il y a beaucoup de poissons certains très colorés.

Ici 5 raies broutant des algues

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Gentil requin qui m’a touché le mollet avec sa peau rugueuse. ..

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Les animaux en général ne sont pas farouches, il semblent nous rappeler qu’ils sont chez eux.

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Les pélicans volent juste au dessus des nageurs et plongent sont impressionnants et majestueux

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Le goéland est noir, couleur des pierres de lave

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L’iguane nous surprend parfois, on ne le distingue pas sur la roche noire

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Aujourd’hui lundi nous louons des VTT pour la journée, et partons à la plage de Garrapajero. 21 km dont 14 en montée c’est épuisant même à 8h du matin car il fait déjà 26° à l’ombre… et il n’y a pas d’ombre 😥

Mais la route est belle.

Attention aux animaux traversant 😊

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Arrivés à la plage, enfin presque car il reste 500m à pied.

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Nous passons par la lagune, les paysages sont magnifiques

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Puis la plage, un peu différente car ici des roches volcaniques on été projetées, couleurs dominantes blanc, bleu turquoise, noir

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Des petits oiseaux pas du tout sauvages et surtout gourmands

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Et le soir, en se baladant sur le port, les animaux nous montrent bien qu’ils sont chez eux ici

Les lions de mer

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Le lion de mer fait sa place en grognant après tous ceux qui se trouvent sur son passage, et croyez moi tout le monde court vite, c’est une femelle, elle est impressionnante

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 la toilette

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Et dodo sur un banc

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Passage difficile, le lion de mer ne se déplace pas !

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Ce mardi matin nous sommes allés au centre Darwin. Charles Darwin est resté ici 5 semaines sur un périple de plusieurs mois et c’est en repartant qu’il a écrit sa théorie de l’évolution.

Nombreuses infos sur les dangers d’extinction des espèces endémiques.

Tortues et iguanes terrestres ainsi qu’une nurserie.

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La tortue des galapagos peut s’asseoir sur sa carapace pour attraper les fruits en hauteur.

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hier, avec un tour opérateur, nous avons plongé près de Santa Fe, ile deserte protégée. Très belle journée plongée avec les lions de mer et des bancs de poissons multicolores, un rêve

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La joie d’être ici s’exprime sans parole

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Notre bateau pour la journée plongée

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Nous sommes heureux et impatients d’arriver sur le site

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Réflexion avec un crâne de Lion de mer

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A l’approche de l’île de Santa Fe, très sauvage

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Un lion de mer fait la sieste

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Les Fous (Piqueros) à pattes bleues

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Les Lions de mer (lobos marinos) avec qui nous avons pu nager. Ce sera une expérience inoubliable , ils venaient presque nous toucher sous l’eau. Merveilleux

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Des poissons et des poissons de toutes les couleurs et toutes les tailles

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Ce jeudi nous prenons un bateau taxi pour traverser le port et aller visiter « Las Grietas ». Un ancien tunnel de lave effondré où l’on peut nager.

Un peu de marche pour y accéder mais ce n’est que du plaisir,  même si le soleil tape TRÈS fort

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Nous nageons dans une eau limpide et douce.

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Nous passons l’après midi à la plage, pour plonger, le spectacle est toujours aussi beau.

Et puis le soir, pause mojito

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Ce vendredi matin repos, nous traînons, nous dégustons un délicieux café équatorien, nous faisons les magasins…

cette après midi par contre nous avons décidé d’aller découvrir les tuneles à 8km de Puerto Ayora. Il s’agit de tunnels de lave, creusés par la lave. Lors de l’éruption volcanique la partie supérieure s’est solidifiée au contact de l’air.

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Nous cheminons sur 1km dans ce boyau partiellement éclairé, la torche à la main, c’est lunaire

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Nous ressentons un sentiment étrange en descendant, il ne fait pas froid, les sculptures naturelles sont surprenantes. A la lumière de la torche les couleurs des roches ressemblent à des vitraux.

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Nous voilà dehors, c’est aussi joli

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16 h c’est l’heure de rentrer, il fera bientôt nuit, nous repartons pour 2 h00 de marche, il fait moins chaud, 25°,  et le soleil est moins vif.

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Ce soir nous dînons sur le port, les requins sont au rendez-vous

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Déjà 1 semaine…. samedi jour de marché, petit déjeuner traditionnelle, bolones y huevo con jugo de papaya.

Cette après-midi promenade en ville et achats

Nous avons fait un détour par la lagune Ninfas, un endroit apaisant qui nous apporte un peu de fraicheur

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Pascal réussit à capturer une frégate mâle en plein vol, bravo il a fallu de la patience…

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Au port, retour de pêche

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Combat pour une part de poisson, entre le lion de mer et le pélican. Le lion de mer sort vainqueur

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Celui-ci attend sagement, assis

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l’architecture ici est particulière

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Le mélange  de styles et de couleurs est assez réussit, c’est gai

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Les embarcadères

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Ce matin, 12 mars 2018, en partant en vélo pour visiter la ferme à tortues et les volcans, nous n’imaginions pas l’issue de cette journée…

nous partons tôt, pour éviter la forte chaleur, direction la ferme aux tortues, où les tortues sont soignées et dorlotées

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IMPRESSIONNANT…

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sur le chemin du volcan, la fatigue commence à se faire sentir, il fait très chaud

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Dans cette ferme école, nous sommes invités à goûter un excellent riz au lait, des fruits et boissons fraîches nous sont offerts par la fermière qui nous dit que son mari est parti traire, tout est frais et fait maison, une belle invitation, un beau moment d’échange et de repos. Nous savons pas encore que Pascal reviendrait ici très vite….

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En montant les chemins vers le volcan, les paysages sont enchanteurs

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Nous ne profiterons pas de ce paysage magnifique en descendant, car sur le chemin du retour, fait de pierres volcaniques, je me tords la cheville et ne peux pas repartir 🙁      j’imagine que je viens de me faire une très grosse entorse.

Pascal reprend son vélo et pédale vers la ferme, les fermiers téléphonent à un ami taxi, nous avions vu un hôpital sur l’île, mais il n’y a pas d’ambulance. Le chauffeur de taxi est aux petits soins pour moi, il m’installe confortablement et conduit prudemment, il pense que j’ai + qu’un simple entorse, ma cheville a triplé de volume. Quelques heures plus tard, après une longue attente en salle d’attente, je passe une radio

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Je fais connaissance du radiologue et du chirurgien, qui  m’annoncent que je dois me faire opérée de fractures des malléoles

Avant de m’installer dans une chambre, le chirurgien réduit les fractures sans aucun soin préliminaire, et là c’est l’horreur, je n’ai jamais souffert autant. Pascal n’est pas très loin et souffre autant que moi …

un aperçu des chambres d’hôpital, c’est d’ailleurs le seul hôpital des Galapagos

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En Équateur, les soins sont totalement gratuits, pas de frais d’hospitalisation, par contre un membre de la famille doit assister le malade et lui apporter un complément de repas. C’est la famille de ma voisine de chambre et notre logeur, Orlando, qui prendront soin de moi. Pascal court entre le logement et l’hôpital, je le couvains d’aller boire un verre, de profiter du temps qui passe, je l’envoie faire quelques courses, il faut qu’il se change les idées car là je crois qu’il va craquer : le chirurgien qui a décidé de m’opérer contre avis, il ne répond pas aux demandes du service de rapatriement de Mondial assistance, et ne donne pas son accord.

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A cette période, chaque jour je me disais qu’un jour je raconterais cette histoire comme une anecdote…

Pascal passe des heures au téléphone… Orlando, se fait passer pour le filleul de Pascal pour pouvoir entrer à l’hôpital, il m’apporte des jus de fruits et des fruits frais, il est adorable et nous ne savons pas comment le remercier. Il négocie avec le chirurgien qui fini par transmettre le sésame… je serais restée à l’hôpital une semaine, arrivée le lundi, je sortirais le samedi 18 mars au matin, d’ailleurs il est temps car l’hôpital ferme le week-end et je reste seule dans cette chambre à partir du vendredi.

Reste un problème à résoudre : comment rejoindre l’aéroport sur l’île de Baltra ? Mondial assistance n’a pas de solution car on ne trouve pas d’ambulance…. c’est encore Orlando qui nous donne la solution, il emprunte un fauteuil roulant à l’hôpital, il nous véhicule, avec beaucoup de précaution, dans son 4×4 jusqu’à l’embarcadère où nous prendrons le bateau taxi. Sur l’île de Baltra, toujours pas d’ambulance, c’est un ami d’Orlando qui nous transporte jusqu’à l’avion, OUF nous y sommes !

Merci aux fermiers qui se sont mobilisés pour trouver un taxi qui accepte de venir me chercher sur le volcan, le soir. Merci à la famille qui m’a soutenue à l’hôpital. Merci à Orlando et à ses amis. Je rêve de les retrouver.

Merci à Pierre-Louis, mon fils, qui a passé du temps au téléphone, pour me soutenir et me conseiller  🙂

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Nous avons apprécié ce voyage de retour en classe Affaire, comme aucun autre 😉

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Champagne, repas gastronomique, et un vrai lit

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